30/07/2016
Un poème de Lokenath Bhattacharya
Depuis que j'ai posé ma main sur toi , depuis l'instant où je l'ai fait, que peux-tu devenir d'autre que l'aimée, l'infini - parcours comme celui de la rivière, vers la confluence ? "Je serai le néant, le futile, un tas de feuilles mortes dans la forêt de l'hiver", le dirais-tu ? Les bracelets cliquettent, tintent les anneaux de cheville, le temps s'écoule dans leur son, s'écoule. Les rivages résonnent des vagues impétueuses de la mer. Il y avait un lieu où aller, où j'ai pu, je n'ai pu aller - mais où je peux aller encore. La fin est là, avant même le commencement, des...