Jean-Claude Pirotte
25/05/2014
Comment parler pour le mieux d'un deuil qui m'affecte, celui du poète, romancier, chroniqueur, peintre..., Jean-Claude Pirotte, je ne sais. La rédaction de Diérèse exprime ses sentiments attristés à Sylvie, qui l'a accompagné sur la longue route.
Homme généreux et comme tel faible devant l'institutionnel, devant l'ordre social quand il ne sert qu'à entériner "ce-qui-ne-se-discute-pas", quiconque a pris la peine de tenter de le comprendre dans sa vie la moins conventionnelle qui soit depuis 1975, cette existence longtemps "clandestine, voyageuse, précaire et lumineuse", pour reprendre ses termes - dans sa présentation aux lecteurs de Diérèse (p11-12) au printemps 2009, dans son numéro 44 - ne peut qu'en être ému, à tout le moins.
Pages extraites de Diérèse opus 44, pages 170 à 172 :
Voir l'article que Roselyne Fritel consacre à Jean-Claude Pirotte demain matin sur :
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