Dans la rubrique "Tombeau des poètes", in Diérèse 72
22/11/2017
Last but not least, c'est par ce fameux "Tombeau des poètes" que je terminerai les présentations (pardon à ceux que j'aurais par mégarde pu oublier), rubrique qu'Etienne Ruhaud mène à bien depuis déjà plusieurs numéros de Diérèse :
TOMBEAU DES POÈTES VII
... Mauvaise blague, Max Ernst décède à Paris, au 19 rue de Lille, le 1er avril 1976 dans le domicile qu’il occupe depuis 1962 rue de Lille, dans le luxueux VIIème arrondissement. Il aurait eu quatre-vingt-cinq ans le lendemain. La case où reposent ses cendres comporte simplement ses dates de naissance et de mort. Abondante, diverse, sa production est exposée partout dans le monde, et plus particulièrement au Centre Pompidou, mais aussi à Seillans, dans le Var, où il vécut, et où trône Le Génie de la Bastlle, un autre totem en bronze, dominant la montagne En outre, un musée, contenant près de trois cents œuvres, a été ouvert dans sa ville natale de Brülh, en Allemagne, en 2005.
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Etienne Ruhaud
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