Les couvertures de Diérèse
05/05/2019
C'est aussi la marque de fabrication de la revue ; conçues en dehors des modes du moment et des artistes "au programme", les couvertures sont le plus souvent figuratives et colorées à souhait, ce à partir du numéro 9. J'en extrais pour vous quelques-unes du catalogue, avec en esquisse le facteur Temps : soit la première de la quinzième livraison, une réalisation de Pacôme Yerma, comme pour les premières qui suivent, si je puis dire. Les quatrièmes de couverture sont le fait, dans l'ordre, de : Martin Schweizer, Corina Sbaffo, Daniel Abel.
Quant au contenu de Diérèse, je l'aime divers. Oui, la diérèse revient à décentrer les perspectives admises, pour laisser libre la parole à celles et ceux qui ont un message à faire passer et qu'il y ait de l'intérêt à le diffuser, assurément. Une rubrique "Cinéma" qui puise dans la poésie des images pour les restituer à l'écrit par exemple. Des récits aussi (Daniel Boulanger avait ces deux casquettes) pour franchir la pseudo-frontière de la prose. Elargir le cadre, donner à entendre la voix des poètes de par le monde procède de la même démarche. Amitiés partagées, DM
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