Bien plus qu'une curiosité, ce recueil du plasticien et poète Jean-Gilles Badaire (qui a illustré le premier numéro de Diérèse consacré à Thierry Metz, le 52/53) se compose de quatorze "domaines clos", lieux-dits, chemins vicinaux ou noms de demeures comme autant d'échos de l'enfance, auxquels l'écriture redonne vie. Une impression de temps suspendu, premier pas vers l'éternité... Émaillé d'un constant appel au réel, porteur d'émotions : le peintre est là, sur sa palette il ajuste ses couleurs, ici le vert, sur le damier du Temps : Les Gabeaux La source est mieux...
Archives > 2019-05
La Beauté ne subsiste que dans le regard C ombien floues ces traces d'eau sur les paupières fuselées des verrières J'y sens lumière et nuit alterner comme cerfs à l'aube entr'aperçus dans l'échancrure des bois là où les feuilles se font lit... Daniel Martinez Diérèse 31
30/05/2019
Vision de la poésie, par Armand Olivennes
Armand Olivennes , qui fut l'un des auteurs de Diérèse , et son approche du sujet : Tout est poétique dans l'univers, souligne Platon dans Le Banquet , mais les poètes sont...