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Des nouvelles de la maquette du futur Diérèse :
il comptera 318 pages, très exactement. A présent, il me faut les relire en détail, sans oublier au passage tel point ou virgule (!)
Lorsque j'aurai confié la maquette à l'imprimeur, je vous donnerai les titres des livres commentés dans cette livraison. Les critiques de la revue effectuent, cela tombe sous le sens, un travail remarquable ! Le cadre des 50 pages maximum (de notes) me semble convenir et je m'y tiendrai. Qui trop embrasse...
Et puis, le labeur terminé, je pourrai revenir sur l'actualité. Dois-je vous avouer que les doigts me démangent face au clavier de mon ordinateur (portable), n'ayant jamais considéré que le poète devait s'effacer devant les réalités sociales, les faits sociétaux ?
Car nous vivons, bon gré mal gré, une époque terrible, marquée à présent par la peur, par la perte de nos repères et la résignation, toujours mauvaise conseillère.
Mon souhait, in fine : que le poème redonne force de vie à ce qui nous anime, sous l'horloge légère de l'être, dans l'ardente proximité de ce qui ne se laisse réduire au charroi du quotidien, à ses seules composantes mais cherche lumière, là où le monde distribue ses ombres.
Amitiés partagées, Daniel Martinez
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