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Bonjour à toutes et à tous,
Comme vous l'avez compris, je n'ai pas chômé cet été. Cette saison est pour moi d'ailleurs l'occasion de retrouver mes marques, n'appréciant guère les mouvements de foule ordonnés vers la grande bleue, en particulier (et pour solde de tout compte). Chacun l'entend librement à sa manière bien sûr ; mais disons que dans le domaine, j'ai déjà donné...
Revenons à la revue, à Diérèse précisément : ce numéro 79 est essentiellement consacré à la poésie, comme vous pourrez en juger à sa sortie. Pour vous en avoir déjà touché un mot, je ne reviendrai pas sur la poésie internationale, partagée entre la langue américaine, chinoise, allemande, avec comme traducteurs, respectivement Jean-François Sené, Guomei Chen et Joël Vincent, ce pour les 50 premières pages.
Viennent ensuite les poètes "de chez nous", avec 3 Cahiers : en bref, et sans vouloir prétendre à la moindre exhaustivité, Lionel-Edouard Martin rend hommage à son père, décédé l'an passé, Alain Duault dérive sur la rivière des neuf dragons, Paul Cabanel contemple un "Bouquet de presqu'îles / Coiffé de vents et de légendes", Pierre Dhainaut souligne à juste raison qu'"Il y a forcément plus que des mots / à travers un poème et plus que nous", Emmanuel Merle voit dans "La promesse et le nostalgie / les deux faces d'une même pièce". Poème, quand tu nous tiens...
Suivent deux récits, l'un de Bernard Pignero, l'autre de Daniel Abel. Puis les "pleins feux" sur trois auteurs : Jean-Paul Bota, Béatrice Marchal et Armand Robin.
Dans le quatorzième "Tombeau des poètes", Étienne Ruhaud s'attache à décrire ce que fut la vie de Jean Gaudry (1933-1991).
Les "Bonnes feuilles" comptent 49 pages de critiques, sur lesquelles je reviendrai un autre jour.
Pour l'heure, voici la première (Pacôme Yerma) et la quatrième de couverture (Corina Sbaffo).
Merci à vous tous, qui permettez à ce numéro 79 d'être ce qu'il est, en ses plus beaux atours !
Belle journée et à bientôt. Amitiés partagées, Daniel Martinez
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