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Votre serviteur se doit de vous informer de l'état d'avancement des travaux, pour Diérèse 82 en particulier. J'ai à présent presque tous les textes en mains, sauf quelques notes de lecture et une rubrique de 6 à 8 pages à venir. Il sera donc, passé le terme que j'ai choisi et qui dépend de l'arrivée de ces tout derniers envois, inutile de faire pression pour que j'accueille dans cette quatre-vingt-deuxième livraison d'autres participants. Naturellement, je continuerai de répondre et de sélectionner pour le numéro 83 de nouveaux contributeurs, bienvenus. Mais ils seront tenus de patienter un tantinet. La poésie est éternelle, comme chacun sait.
Sachez déjà que la couverture (du n°82) est prête et que l'exemplaire passera les 300 pages, comme à l'accoutumée. Les noms d'auteurs vous seront dévoilés en partie, à l'aube du mercredi 1er septembre. Beaucoup de bonnes surprises, vous verrez. Une remarque : au colophon de chaque livraison figurent quelques noms d'auteurs pour la suivante, auteurs dont certains ont été simplement contactés au moment de la mise sous presse du numéro à paraître. Il tombe sous le sens qu'il ne s'agit là, en dernière page, que de prévisions et non d'un engagement contractuel de ma part. Dans les faits, des épreuves vous sont envoyées avant publication, ce qui n'est pas le cas de tous mes confrères, hum...
En bref, Diérèse est fait de main d'homme, j'en suis en même temps la cheville ouvrière et l'animateur/directeur comme le fut Michel Lavaur. Mis à part les critiques, à qui la revue doit beaucoup et que je remercie du fond du cœur pour leur travail, considérable, il n'y a pas une équipe derrière moi, pour corriger le tir si besoin. Pour n'évoquer que le maquettage des pages intérieures par exemple, il est de mon fait, pour info je travaille sur un logiciel datant de 1998, l'année de fondation de la revue. Je ne m'en plains pas, j'y suis même très attaché, à ce logiciel, sachez-le bien, c'est un peu mon second acte de naissance, car le 21 mars 98 a paru le n°1 de Diérèse. A ce propos, voir le lien, ici inactif, à copier sur votre barre Google :
www.revues.lacavelitteraire.fr (une mine !).
Cet été, je continuerai d'alimenter le blog dans la mesure du temps libre que je pourrai dégager, au fil de l'eau... Pas de vacances à La Grande-Motte, mais sûrement quelques jours en Bretagne, pour apprendre à nos deux petites (Gaëlle et Diane) à nager autre part qu'en piscine chlorée. L'occasion pour moi de vous souhaiter de bonnes et heureuses vacances : profitez bien avant la rentrée qui verra l'émergence du variant Delta, suivi du variant Epsilon. Eh non, nous n'en sommes pas sortis, vous le savez déjà. Une anecdote, au passage : des amis du CHU de Lille au premier trimestre de cette année mémorable, se plaignaient du gaspillage des masques, dans la rue en plein air (protections qui peuvent à l'occasion voiler la mauvaise haleine, certes). Si la foule est vectrice de contaminations, le plein air par contre, en montagne, colline, plateau, plaine ou à la ville ne s'y prête pas sauf à s'y masser (ou alors il faudrait aussi porter le masque en ouvrant ses fenêtres). L'hygiène oui, la peur du moindre souffle d'air, non. La vie est bien trop courte pour s'en faire un enfer.
Dernier point, pour ce jour : j'ai comme beaucoup d'entre vous eu droit à ma première injection de Pfizer. Le vaccin est utile par contre, une évidence à rappeler, pour les formes graves de cette maladie. Mais en ajoutant qu'il convient de ne pas masquer non plus les effets secondaires du vaccin chez certains - minimes pour votre serviteur, effets pervers que je m'empresse de vous conter, sans vouloir en rajouter. Quarante-huit heures après avoir reçu ma première injection, je me suis senti flagada trois jours durant, comme après un effort intense et répété, ceci joint à des picotements intrathoraciques désagréables au côté gauche, intermittents et ressentis plus vivement au réveil ; quelques maux de tête, eux par contre tout à fait anodins, pas de quoi fouetter un chat. Ceci étant, je prendrai conseil pour ma deuxième injection, sachant que les troubles ressentis à la première peuvent être potentialisés à la seconde. A suivre donc. Et à bientôt ! Si vous le voulez bien, restez connectés pour les deux mois qui viennent, par avance merci.
Amitiés partagées, Daniel Martinez
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