Vie du blog, et Vie tout court : décembre 2014

En ce dernier jour de l'année 2014, faire le point sur la fréquentation de ce blog bien sûr, pour vous informer que vous avez été 119 à 193 à le visiter quotidiennement ce mois-ci : merci à toutes et à tous. Comme quoi on peut, avec les moyens du bord - selon l'expression consacrée - partager et donner à connaître bien des poètes, de par le monde nôtre qui prend l'eau de toutes parts. A demain, pour les voeux à chacune et à chacun d'entre vous. DM

La vie du blog, novembre 2014

Sur sa lancée et grâce à votre fidélité, dont je tiens à vous remercier, le blog continue à tracer son chemin. Ce mois-ci vous avez été entre 110 et 177 à visiter quotidiennement cet espace dédié à la poésie, à la littérature et aux arts, qui ne veut toute modestie gardée ressembler à aucun autre, je l'espère. Pas de jongleries universitaires, ni de ronrons dans des formes établies où seuls auraient droit de cité celles et ceux qui nous conforteraient dans nos options de départ, littéraires, sociales ou politiques même. La vérité, s'il en est une, n'est pas l'apanage d'un clan, d'une caste ou des donneurs de leçons qui-ne-balayent-pas-devant-leur-propre-porte ; elle est partout, souvenez-vous par exemple de ce que disait Christian Bobin il y a quelques jours sur ce blog, le 16/11 :
"La pureté on la trouve dans l'impureté : dans le mélange du monde, dans le désordre des genres, dans le battement des pages, dans le fouillis des visages et des livres."
                                                                                           DM

La vie du blog, octobre 2014

Bonjour à toutes et à tous,

Nous arrivons en fin de mois, il m'incombe à présent de vous remercier chaleureusement pour votre fidélité, qui m'est chère. Vous avez été entre 98 et 146 à visiter quotidiennement ce blog, qui continue de tracer sa voie. Certains sujets vous intéressent plus que d'autres, et si plaît le caractère souvent inattendu de ces notes au jour le jour, j'en conçois certain bonheur. D'ici à là, picorer le "silence, cet oiseau dont on n'entend pas les ailes"* ; et plonger dans le détail, car ce sont les petites histoires qui composent la grande, quand il suffirait (au hasard) de réouvrir les Nouvelles Hébrides de Robert Desnos pour en être absolument convaincu.

Allez !, que les vents vous soient favorables. Aux bleus matissiens ! A la coupe où vient boire la nuit ! Aux premières lueurs du matin qui font trembler les ombres ! DM

* Louis Bouilhet