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Rechercher : Isabelle Lévesque

Le monde de l'édition : le poète Thierry Metz. Poésie in vivo/poésie in vitro.

Alors que l'on continue de me rapporter des exemples de poètes dont les ouvrages peuvent tirer jusqu'à 10 000 exemplaires chez l'éditeur indépendant qu'est Gallimard (au format Poche/Poésie) et que dans le même temps, le même auteur, s'adressant à un éditeur (non indépendant) ne pourra obtenir du CNL l'octroi de subventions - donc se verra privé du droit d'être publié ailleurs - j'ai pris le parti de vous faire lire ce que Gérard Bourgadier de la maison Gallimard (collection L'Arpenteur), écrivit à Thierry Metz à l'occasion de la sortie du Journal d'un manoeuvre.
Sa lettre, reproduite in Diérèse opus 52, un numéro codirigé par Isabelle Lévesque et moi-même, est ici reproduite. Il faut ajouter que Gérard Bourgadier, l'éditeur de Thierry Metz, était conscient des difficultés que rencontrerait un poète qui n'était pas du sérail. Conflit de fait entre la poésie in vivo et la poésie in vitro. Débat très cartésien de fait, où l'esprit devrait l'emporter, reléguant au second plan ceux qui n'ont pas déjà un pied à l'étrier (aux États-Unis, qui vivent aujourd'hui une journée bien difficile, on parle de "contre-culture")... DM

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20/01/2017 | Lien permanent

Diérèse 65 évoqué par la revue Phoenix

Diérèse 65

Ce numéro est aussi agréable à découvrir que les précédents : pages richement illustrées de peintures, dessins, collages (un collage de Ghislaine Lejard m’a particulièrement intéressée)… L’ensemble comprend neuf rubriques ; le lecteur va à la rencontre de la poésie, de la littérature et des arts. Après une belle réflexion sur « La voix de la traduction », Alain Fabre-Catalan présente Georg Trakl, à qui est dédié aussi un dessin de Max von Esterle. Dans le domaine chinois, le poète Du Mu (803-852) est évoqué et traduit par Guomei Chen. Trois cahiers accueillent quinze poètes. Richard Rognet en ouvre l’ensemble. Line Szöllösi fait entendre les biches qui halètent et la foudre tombée comme un nid. Cette matière à rêver (Isabelle Lévesque) lie en filigrane l’ensemble de ces cahiers. « Récits » accueille trois auteurs ; la rubrique d’Etienne Ruhaud, « Libres propos », évoque le tombeau des poètes. Les cimetières choisis sont ceux de Saint-Mandé où repose Juliette Drouet et de Bagneux (Alfred Jarry). Ici, c’est la pierre tombale qui parle, révèle son histoire. Après la rubrique « Cinéma » vient celle des « Bonnes feuilles », aux nombreuses recensions ! La présentation des éditions Les Deux-Siciles en fin de volume confirme le pouvoir de Diérèse : ouverture à tous les horizons.


 Marie-Christine Masset – Phoenix (Printemps 2016 – Numéro 21)

 

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01/07/2016 | Lien permanent

”Carnet d'Orphée et autres poèmes”, de Thierry Metz, éd. Les Deux-Siciles, octobre 2011

Pour vous donner un aperçu de mes publications, commençons par le fameux Carnet d'Orphée, préfacé par Isabelle Lévesque, écrit par Thierry Metz sur un agenda, en lien avec la mort de son fils Vincent, écrasé en 1988 par un chauffard alors qu'il traversait la nationale, à quelques pas du domicile familial. Sous les yeux du père qui se sent directement responsable, et ne cherchera dès lors qu'à précipiter sa propre fin. Il se suicidera en avril 1997, à l'âge de 41 ans.
"L'Orphée de tous ces instants, en recherche, en quête... qui n'a peut-être plus envie de se retourner. L'ayant devant lui, le visage qui s'efface." En complément au
Carnet d'Orphée proprement dit, livre posthume, on pourra lire des poèmes de Thierry Metz extraits des revues "Résurrection" et "Le Moule à gaufres".

Recueil important pour la compréhension de l’œuvre du poète Thierry Metz. En impression offset, l'exemplaire ordinaire est en vente à 12 €. Quelques exemplaires à grandes marges sur Arches, encore disponibles : à 60 €.

Un livre salué par la critique. Thierry Metz s'y livre tout entier, dans un chassé-croisé de souvenirs et de projections portant tantôt sur sa propre fin, tantôt sur le sens/non-sens de sa vie, avec en miroir l'image de celle qu'il continue d'aimer bien que séparé d'elle, sa femme Françoise.
Parque claire et Parque sombre se disputent, à lui le poète, ses jours derniers. C'est de ce combat-là, tout intérieur, qu'il s'agit, où resurgit Vincent que Thierry Metz veut rejoindre, à pas comptés, sous le feuillage des morts. Poursuite inlassable d'une résonance, d'une reconquête à l'envers du jardin terrestre, sur un fond de silence et de recueillement.

Carnet d'Orphée.png

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25/09/2020 | Lien permanent

Les deux numéros de Diérèse en hommage à Thierry Metz

Vous le saviez déjà, ces deux fameux numéros (52/53 et 56) ont été orchestrés par Isabelle Lévesque et moi-même, du travail et du temps consacrés à leur sortie. Le second est épuisé et ne sera sans doute pas réimprimé. Il reste du premier, en couverture, cette photographie de Thierry jeune, dix-huit ans à peine, l'âge où tous les espoirs sont permis. Jérôme Garcin, du Nouvel Obs, a rendu compte dans cet hebdomadaire du numéro 52/53, en réussissant le tour de force de ne jamais citer quels en furent les maîtres-d’œuvre.

Choix tout arbitraire que le mien dans mon blog, de vous donner à lire quelques textes extraits des deux exemplaires de la revue, j'ai nommé Sophie Avon, Didier Periz et Jean-Pierre Chambon. Vous ne les trouverez nulle part ailleurs reproduits, ces textes, et certainement pas dans les livres sortis ces derniers temps, où l'œuvre (à peu près) complète de Thierry Metz a été colligée. Travail de forçat, car répartie aux quatre vents.

Il s'agissait, dans Diérèse, de n'en pas rester au contenu brut de décoffrage, sec comme de l'amadou, mais plutôt de faire participer celles et ceux qui ont interagi dans la conception et le rendu de l’œuvre en cours (éditeurs en premier lieu, mais pas seulement, citons Jacques Ancet ou Xavier Bordes par exemple). Un seul refus à signaler : celui de Jacques Brémond, au travers d'une correspondance qu'il jugeait trop intime sans doute pour être publiée, nous l'avons regretté, certes. Ita est.

C'est une tendance d'ailleurs, dans le monde de l'édition, de vouloir détacher l’œuvre de son contexte, comme si elle naissait ex nihilo ! Seule la collection La Pléiade s'attache à situer et replacer l'écriture dans son histoire, c'est heureux. Voilà, je m'arrête là. Je vous parlerai très bientôt de Christian Bobin, qui avait participé au n°52/53 (toujours disponible) dans son dernier opus paru, sur lequel la critique risque de se montrer peu bavarde : Le Plâtrier siffleur.

Amitiés partagées, Daniel Martinez

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27/03/2018 | Lien permanent

Epilogue : Repérages Diérèse 52/53

Naturellement, l'aventure ne faisait que commencer, j'entends celle qui devait présider à la naissance de ce numéro qui reçut un franc succès auprès du lectorat. Des demandes continuent à me parvenir, dernièrement celle d'un analyste ; le travail qui a été effectué ensuite, par Isabelle Lévesque et moi-même, a été rondement mené. Jacques Ancet fut le premier à répondre favorablement à notre demande de participation...
Ceci étant, pourquoi ne pas ajouter dans la foulée que le milieu revuistique est souvent mais pas toujours un milieu plutôt cadenassé, où prédominent les relations directes entre tel et tel, suggérées par tel ou tel, on n'en sort pas ou difficilement. Je ne parle même pas des présupposés idéologiques, qui font florès. Personnellement, je me moque comme d'une guigne de ce qui fait passer la littérature au second plan, avec les "meilleures" intentions du monde. Bien entendu, il s'agit de respecter le cadre légal, qui prohibe à juste titre les propos racistes ou antisémites. Ceci étant, la personne qui m'écrit en demandant : "Si je suis publié dans Diérèse, aux côtés de qui figurerai-je ? ; ou : aurai-je mon nom en couverture" se survalorise et se dévalorise dans le même temps à mes yeux. Ce ne sont pas des exemples que j'invente, ce sont des questions qui m'ont été posées.

Je n'entends pas changer complètement les règles du "jeu", mais réduire autant que faire se peut ces travers à leur portion congrue. Ce fut le cas avec la redécouverte de ce poète d'importance que fut Thierry Metz, comme avec bien d'autres. Et terminerai par un extrait, signé Raymond Bordes (un pseudo et qui n'est pas à proprement parler celui d'un auteur), publié in Diérèse 52/53 : "Il se taisait, et moi je souriais. Peut-être j'avais trouvé un plus tragique, un plus décalé, plus dérisoire, plus étranger que moi.
Un qui ne riait pas.
Au bout d'un long moment, j'ai dit : "Alors tu fais le manut', puisque tu ne fais plus de sport*, et le soir, chez toi, tu bûches la mythologie grecque ?..." "Et j'écris" a-t-il ajouté." Première publication par la librairie Quesseveur à Agen, octobre 1998.
Belle journée à tous. Amitiés partagées, Daniel Martinez

_______

*
Thierry Metz fut (aussi) haltérophile.

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15/08/2018 | Lien permanent

Françoise Hàn nous a quittés ce mercredi 1er juillet

C'est avec peine que je vous annonce ce jour le décès de la poétesse Françoise Hàn, dont celles et ceux qui l'ont approchée, lue, connaissent la bonté qui émanait d'elle et sa force d'âme... Tous mes regrets à ses proches, je m'associe à leur peine, partagée.

Françoise Hàn avait participé au numéro 52/53 de Diérèse (co-dirigé avec Isabelle Lévesque), consacré à Thierry Metz. Voici ce qu'elle y a écrit, qui demeure :

Le temps ne lui a pas creusé une absence
à la présence parmi nous de T.M.


Il est présent parmi nous
mais il n’appartient pas
au présent désemparé
qui dérive et s’enfonce

il appartient à l’espace
entrevu entre les poutrelles
entre les mots
à l’espace où le battement d’une aile
annonce un au-delà des décombres

il appartient au chantier
qui doit sans cesse refaire
la vieille fabrique du monde
il en est le manœuvre
des fondations jusqu’à l’arc-en-ciel
il porte nos silences dans son auge
en maçonne le poème
commencé bien avant nous

le poème qui cherche à comprendre
d’échafaudage en échafaudage
notre venue ici
notre pourquoi parmi les pierres
le poème jamais fini

il appartient au rêve
de l’homme couché au fond du puits
à la lampe allumée des millions d’années plus tôt
qui l’éclaire et vacille entre nos mains

à la question posée comme l’oiseau
sur le bâton devant lui
reprise à chaque envol
peinte sur les parois de la grotte
ponctuées de signes non déchiffrés

à notre lecture incertaine
à nos attentes mais aussi
à l’inattendu qui embrase la poussière

il appartient à la terre
à d’immenses paysages
labourés de siècle en siècle
à leurs horizons soulevés

à la résurgence des sources
à la soif qu’elles étanchent
à celle qui ne s’étanche pas
qui a fait surgir le langage

au langage lui-même
champ prodigieux
qui s’augmente se multiplie
et repousse les horizons
de labour en labour

La nuit ne le dérobe pas à nos regards
il appartient aux constellations
il avance parmi elles

à la verticale de l’enclume
où nous martelons nos regrets nos désirs
à la verticale de l’instant
où jaillit l’étincelle

à la verticale du tressaillement
bien plus lumineux que l’immortalité
qui nous saisit à toucher le monde


Françoise Hàn

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03/07/2020 | Lien permanent

Marché de la Poésie, Daniel Martinez

Sans oublier de me présenter à présent, il est temps je crois :

Daniel Martinez réside depuis l’été 1975 à Ozoir-la-Ferrière, en Seine et Marne.

 

Des publications en revues :Les Cahiers du Schibboleth, La Nouvelle Tour de Feu, Phréatique, Linea, Le Cri d’os, Arpa, Thauma, L’Indicible frontière, Pphoo, La Passe, Les Citadelles, L’Arbre à paroles, Verso, Concerto pour marées et silence, Voix d’encre, Revue Alsacienne de Littérature

Je dirige la revue Diérèse, à périodicité trimestrielle, depuis mars 1998, 62 numéros parus à ce jour, comité de rédaction partagé avec Isabelle Lévesque depuis le n°52/53. Je dirige aussi les éditions Les Deux-Siciles, depuis septembre 1998 (42 titres parus à ce jour).

 

J'ai publié 12 recueils de poésie, dont : N'être qu'une fois (éditions du Contentieux, sept. 2001), Le Bestiaire de Vénus, en regard de collages de Jacques Coly (éd. Le Petit Véhicule, 2003), Le Système de Véga de la lyre (éd. Le Nerprun solaire, 2005) ; en 2007, j'ai illustré Feeders au regard de poèmes de Jacques Coly (éd. Le Petit Véhicule) et publié Les mains du songe (éd. Le Nerprun solaire) ; en 2011 et 2012 ont été publiés aux Deux-Siciles : Diadème du regard et Terre entière. En 2013 : La croisée des saisons et Kakusha (éd. du Contentieux).

 

Si vous voulez me lire un peu, voici :

 

 

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Sébastien Stoskopff, Corbeille de verres, huile sur toile, 1644

                                Corbeille de verres

 

 

L’air s’est fait des plus légers, la rampe du songe au loin

laisse perler des gouttelettes qui concentrent

des particules d’étoiles, invisibles.

De l’une à l’autre devenues relais lumineux

sur le chemin de la mémoire :

à la droite d’un gobelet d’orfèvrerie

ici renversé, brillant et glacé,

un römer arbore la tristesse des dieux,

et la lente maturation du vin s’y lit

dans ce qu’approche la main, ouverte.

Sur le côté gauche du tableau,

qu’ont-ils donc perdu de leur histoire

les fragments dispersés du verre

dont les soies du pinceau touchent la froide braise ?

L’idée de l’éternité se conjugue avec

une vanité sous-jacente, son à-propos :

telle une peau froissée en regard

des lisses reliefs des deux coupes,

à chaque extrémité de la corbeille

plane l’air bleu nuit, empli d’ailleurs.

Une image de la paix, cette gloire des reflets solaires

ou le grènetis de l’écume qui constelle l’ensemble

afin de mieux dévoiler la chrysalide, œuvre accomplie ?

Assurément, ce serait crime

que de déranger le bel ordre proposé,

ce serait sacrilège que de déséquilibrer

l’un des plateaux de la balance

dont le fléau, un hanap en grappe de raisin

porte à son extrême le rayonnement second des choses

élargissant le champ du fantasme

puis celui de la toile toute entière, un défilé de masques

s’ajustant les uns aux autres, à présent figés,

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09/06/2014 | Lien permanent

Diérèse et les Deux-Siciles

dierese62.jpgLa revue de Poésie et Littérature Diérèse, fondée par Daniel Martinez qui la dirige, paraît depuis le 21 mars 1998 ; elle a d’abord été trimestrielle, depuis 2015 elle est quadrimestrielle. Près de 70 numéros ont paru à ce jour dont quatre (52/53, 56, 57, 59/60) ont été codirigés avec Isabelle Lévesque. Cette dernière a en outre fait partie du comité de rédaction du numéro 52/53 au numéro 65. Aujourd'hui, Daniel Martinez assure seul la direction et la rédaction de la revue. Les premières de couverture sont peintes ou dessinées (sauf exception) par Pacôme Yerma.

Diérèse est une publication auto-diffusée et auto-distribuée.       

On y trouve réunis des auteurs connus (Michel Butor, Hélène Mohone, Jean Rousselot, Henri Meschonnic, Bernard Noël, Pierre Dhainaut, Jean-Claude Pirotte, Pier Paolo Pasolini, Antoine Emaz, Ariane Dreyfus, André Velter, Richard Rognet, Lionel Ray, Pierre Bergounioux, Ana Luísa Amaral...) et des auteurs moins connus, mais qui gagnent à l'être.

 

Les éditions Les Deux-Siciles ont été créées en septembre 1998 par Daniel Martinez, dans le prolongement de la revue Diérèse dont il est aussi le fondateur. Le catalogue des éditions comprend à ce jour une quarantaine de titres qui sont l’aboutissement même de la revue dans sa ligne éditoriale, des coups de cœur mais pas seulement ; avec notamment au catalogue le dernier livre publié de son vivant de Jean Rousselot : Minimes (mais aussi Trajectoire suivi de Strophes, juillet 2002), Bertrand Degott avec Plusieurs vols d’étourneaux, Pierre Dhainaut avec Voix d’ensemble, Thierry Metz avec Carnet d’Orphée…, quatre anthologies : Y'a pas d'lézard ! une anthologie de poésie moderne - Voyageurs de l’absolu - Frag/ments & cætera une anthologie de poésie brève et - Poètes électriques l’insurrection, signées par Jacques Coly…
Les éditions Les Deux-Siciles publient essentiellement de la poésie, quelques essais et des nouvelles. Le nom des éditions vient de l’ancien royaume des Deux-Siciles – qui a traversé les siècles, gage de longévité – et marque un goût particulier pour l’Italie.

Pour tous renseignements, écrire à :

Adresse :  Daniel Martinez
                 8, avenue Hoche
                 77330 Ozoir La Ferrière     

Adresse Mail : daniel.dierese24@yahoo.fr

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06/01/2017 | Lien permanent

”Bonnes Feuilles” in Diérèse 78

Bonjour à toutes et à toutes,

Voici les auteurs/les titres commentés in Diérèse 78. Vingt-sept maisons d'édition y sont représentées, pour un total de 55 pages. Un grand merci à toutes celles et à tous ceux qui permettent ainsi de donner audience aux poètes, à leurs livres (la caravane passe). Amitiés partagées, Daniel Martinez

Ω

Eric Barbier, Le geste obstiné du jour, éditions Alcyone, 2019.

Georges Rose, Jeunesse de l’instant, éd. Alcyone, 2019.

Monique W. Labidoire : Voyelles bleues, consonnes noires, Editions Alcyone, 2019.

Jean-Louis Bernard, Cahiers des chemins qui ne mènent pas, éditions Alcyone, 2019.

Sabine Dewulf, Et je suis sur la terre, éd. L’herbe qui tremble, 2020.

Jean-François Mathé, Vu, vécu, approuvé, éd. L’herbe qui tremble, 2019.

Pierre Dhainaut, Transferts de souffles, avec une lecture d’Isabelle Lévesque (« Pourtant c’est un poème »), éditions L’Herbe qui tremble, 2019.

Olga Votsi, L’Escalier, traduction Bernard Grasset, éditions Le Taillis Pré, 2018.

Violaine Boneu - Chantiers du souffle - éditions Le Taillis Pré - 2018. 

Bernard Fournier, Hémon suivi d’Antigone, Silences et Loin la langue, éditions La Feuille de thé, 2019.

Colette Klein - C’est la terre qui marche sous mes pas, éditions La Feuille de Thé, 2019.

Pascale Alejandra, L'oeil et l'instant, Éditions Le phare du Cousseix, 2019.

Paul de Roux, Un rêve, éditions Le phare du Cousseix, 2017.

Jean-Paul Bota, Chartres et environs, ill. David Hébert, éd. Des Vanneaux, 2019.

TAN Shaun, Cigale, éd Gallimard jeunesse, 2019.

Julien Boutreux, J’entends des voix, éditions Le Citron Gare, Metz, 2019.

Patrick Boutin, Furfur, éditions Lamiroy, Woluwe-Saint-Lambert (Belgique), 2019.

Pia Tafdrup : Le Soleil de la salamandre, traduit du danois par Janine Poulsen, éditions Unes, 2019.

Philippe Veyrunes, De l’autre côté des masques, éditions Les Presses littéraires, 2019.

Michel Passelergue, Ophélie d’Elseneur, Éditions Aspects, 2019.

Cécile Oumhani : Mémoires inconnues, encres de Liliane-Eve Brendel, La tête à l’envers éditeur, 2019.

Germain Tramier, Corps silencieux, éditions de la Crypte, 2019.

Charles Akopian, A l’ombre de la blanche hermine, Collection lieu, éd. Encres vives 2019.

Bruno Geneste, Paul Sanda, Les pensées bleues d’André Suarès, éditions Sémaphore, 2019.

Claudine Bohi, Ce je en nous qui erre, éditions Mazette, 2019.

Gilles Lades, Grandes lignes, éd. La Porte, 2019.

Vincent Courtois, Nulle part ; Christian Rigault, En-Tête ; Stéphane Batsal, Step, éditions du 6 rue Gryphe, Lyon, 2018-2019.

Armand Segura, Le pouls du corail, éditions Jacques Flament, 2019.

Andreas Unterweger, Le Livre jaune, traduction Laurent Gassagnau, éditions LansKine, 2019.

Frédéric Tison, La Table d’attente, Librairie-Galerie Racine, 2019.

Guy Chaty/ Le choc ; Laurence Izard/ Les clics, Le choc du clic, éd. Transignum.

Guy Chaty, à fleur de peau, Gros Textes éditions, 2019.

Gérard Mottet : Dans les plis du silence, éditions Unicité, 2019.

Jean-Noël Cordier, Archives du vent, Le Nouvel Athanor 2019.

Pierre Perrin, Le Modèle oublié, éditions Robert Laffont, 2019.

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16/02/2020 | Lien permanent

Les ”Bonnes Feuilles” de Diérèse 77

Bonjour à toutes et à tous,

J'en ai presque terminé avec la maquette de la prochaine livraison de Diérèse, qui comptera 324 pages comme le numéro 76.

Voici les titres des 38 livres ou recueils qui y seront commentés. Un grand merci à tous les contributeurs. Amitiés partagées, Daniel Martinez :

Béatrice Marchal, Au pied de la cascade, encres de Jean-Marc Brunet, L’Herbe qui tremble, 2019
Sylvie Fabre G. : Pays perdu d’avance, peintures de Fabrice Rebeyrolle, L’Herbe qui tremble, 2019
Richard Rognet, La jambe coupée d’Arthur Rimbaud, éditions L’herbe qui tremble, 2019
Pierre Dhainaut, Après, éditions L’Herbe qui tremble, 2019
Isabelle Lévesque, Chemin des centaurées, éditions L’Herbe qui tremble, 2019
Matt Mahlen, Beyrouth, Liban rouge et blanc, Le Contentieux, 2018
Jacques Lucchesi, Ténèbres d’août, Le Contentieux, 2019
Robert Roman, Gérard Lemaire un poète à hauteur d’homme, Le Contentieux, 2019
Frédéric Ducom, Wata, éditions Alcyone, 2018
Éric Barbier, D’un silence inachevé, éditions Alcyone, 2017
Antoine Émaz, Passants, éditions Unes, 2017
Raphaële George, Les nuits échangées, éditions Unes, 2018
Pierre Mironer, Les Champs Auriculaires, éditions La Porte, 2018
Pierre Dhainaut, Quatre éléments plus un, éditions La Porte, 2019
Daniel Brochard, L’éternel recommencement – Talmont – Les Sables 2016-2017, éditions du Petit Pavé
Claude Cailleau, Anthologie poétique (1956-1970 et 1999-2018), éd. du Petit Pavé, 2019
Monique Saint-Julia, Images d’Irlande. Éditions de l’Aire, 2019
Gérard Pfister, Ce qui n’a pas de nom, Arfuyen, 2019
Céline Debayle, Baudelaire et Apollonie, Arléa, Paris, 2019
Flora Delalande et Léonard Pietri, On dit que Dieu n’habite plus là, Copymedia, 2018
Didier et Karine Giroud-Piffoz, Le mystère du Gué Gorand, Ella éditions, 2018
Charles Akopian, Ressacs, Encres Vives, 2019
Bernard Pignero, Solitudes partagées, Encretoile éditions, 2019.
Gérard Titus-Carmel, Un rêve en éclats, éd. Fata Morgana, 2018
Yves Leclair, L’Autre vie, éditions Gallimard, 2019
Zéno Bianu & Odradeck, Cantique des cantiques, Songes de Léonard Cohen, éditions de L'Improbable, 2019
Anne-Lise Blanchard, Épitomé du mort et du vif, éd. Jacques André, 2019
Jean-Luc Coudray, Carnaval (textes), peintures de Jonathan Bougard, éditions du Petit Véhicule, 2019
Patricia Castex Menier, Chroniques incertaines, éditions Petra, 2019
Patricia Castex Menier, C’est si simple un poème, illustrations de Joël Pampin, éditions Pippa, 2019
Louis Savary, Jeter l’encre - éditions les Presses Littéraires
Jean-Pierre Chambon, photographies de Christiane Sintès, Un écart de conscience, Le Réalgar (collection l’Orpiment), 2019
Jeanne Cressanges, Un père en héritage, Serge Domini éditeur, 2019
Alexandre Voisard, Ajours suivi de Médaillons, éditions Le Taillis Pré, 2017
Didier Ayres, Néant, Tarabuste, 2019
Gérard Le Gouic, Poèmes choisis, éditions Tawbad
Gérard Mottet, Dans les plis du silence, poèmes de la nuit, éditions Unicité, 2019
Marc Alyn, T’ang l’obscur - Mémorial de l’encre, Encres de T’ang Haywen, éditions Voix d’encre

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28/09/2019 | Lien permanent

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