17/06/2014
En deux syllabes
Le temps des yeux
à mei & à gaëlle : notre enfant de coeur
Mandala de sable
où les palais des divinités
fleurissent à l'instar
d'anémones solaires
Ici soient préservées les images
de la pensée substancielle
innervées par le tissu de la voile
grandement déployée
Si sensible la vision de ce champ
qui s'étend hors du monde
iris jaunes et jeux de la foudre
après la première systole
Terrasses et jardins miroitements
pour libérer l'exigence
de dire ce que nous sentons offert
à la nudité du vivre invisible et doux
Daniel Martinez
18:44 Publié dans Eden | Lien permanent | Commentaires (0)
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