29/11/2015
Jean-Paul Bota sera présent in Diérèse 67
Au fil de l'eau, alors que le numéro 66 est à l'atelier...
Nantes
Quai de la Fosse peu décidé le ciel entre soleil dé affadi de braises, une pièce usée le soleil et la cendre des pluies, des heures déjà le grain l’éclaircie tandis que je vais laissant dans mon dos la médiathèque, les remugles d’un compresseur là, halte au Feeling peut-être ou Frégate, la Capitainerie ou…, ces bars qui se succèdent le long du quai… pour un bock que j’assèche le temps encore d’une averse à l’égal d’un J. Josse, son Retour à Nantes, repartant maintenant longeant le Mémorial de l’esclavage (Face, à quelques temps de là), à filer vers l’accès, ce souterrain que j’emprunte textes liés à l’abolition Sedar Senghor Elégie pour Martin Luther King ou Césaire Cahiers d’un retour au pays natal, qui me reviennent Tamango ou Coke en stoke… quai de la Fosse, ici d’où fut signé l’Edit de Nantes, Maison des Tourelles (ou est-ce le Château ?), je regarde, peuplé de mécanique, cet éléphant là-bas aux Machines de l’île, accoté au Carrousel, ô Jules Verne et l’écho d’il, natif de N., les grues Titan, ainsi de leur nom en référence à leur puissance de levage...
Jean-Paul Bota
21:34 Publié dans Diérèse | Lien permanent | Commentaires (0)
Les commentaires sont fermés.