23/11/2024
Dans la rubrique "Poèmes", in Diérèse 72
Nous commencerons par Alain Duault avec tout ce qu'il écrit de beau du désir, essentiel à la vie ; qui nous éloigne, poètes, des jeteurs de sorts et d'anathèmes, quand notre esprit et notre cœur nous relient aux forces et aux mouvements qui font aller le carrousel de ce monde, hors ses maux profanes :
Camélias fanés
... Ce bruit doux et craquant du satin sous les doigts
Sous les nerfs ou cette mélodie enfouie ce désir
De faner cette fleur entre les seins une arrogance
Une craie sur la peau un vent singulier qui souffle
Dans une rue de hasard quand on vit ces dernières
Saisons nous avons beaucoup dansé mais on sait qu’
Il est temps de voir arriver les voleurs de l’été qu’il
Ne faut pas manquer la beauté des jours qui passent
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Alain Duault
13:09 Publié dans Diérèse 72 | Lien permanent | Commentaires (0)
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