11/02/2020
Alain Brissiaud, à lire dans Diérèse 78
Visions de Louise
Jours mystérieux et secs
jusqu’à l’odeur du figuier
entendu dans le souffle du vent
Louise
son parfum se mêle à ta salive
à ton côté
je n’ai plus peur
d’arpenter ce chemin de nuit
que viennent
viennent
ta joie ta peine
je serais l’eau de ta voix
ta peine ta joie
seront miennes...
Alain Brissiaud
07:48 Publié dans Diérèse 78 | Lien permanent | Commentaires (0)
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