19/04/2018
Diérèse 73 :Jacques Merckx, avec "Histoires de la rue Riquebus"
"Il était venu frapper à ma porte emprunter une petite somme d’argent qui lui était, disait-il, indispensable pour vivre jusqu’à la fin du mois. Il me regarda fixement et ajouta qu’il me rembourserait le vingt du mois suivant. “Ton baratin, je n’y crois plus, prends : (je lui tendais une coupure de 10 euros) ça c’est un cadeau, mais c’est le premier et le dernier en même temps.”
Je l’ai revu quinze jours plus tard, qui avait démonté son chauffe-eau pour économiser un dépannage, mais il restait avec des pièces dont il ne savait que faire..."
Jacques Merckx
18:40 Publié dans Diérèse 73 | Lien permanent | Commentaires (0)
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