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03/08/2018

La fabrique du poème : En tout sens IV

Ce matin du 3 août, après un petit déjeuner café noir aux madeleines, ce sont ces vers-ci qui me sont venus, tout de go : départ (arbitraire) d'un poème. Ce que l'on ne voit jamais, et vient à l'esprit sans crier gare, j'ai choisi de vous le montrer aujourd'hui. Pas d'autre travail que celui de saisir, à tous les sens du terme, ce qui est à vif et ne demande qu'à paraître. Le poème, vous vous en doutiez, est ma vie, pas un passe-temps, il s'agit avant tout d'essayer de me retrouver, derrière mon image sociale.
Mais j'ai été interrompu dans ma tâche et je reprendrai... après, selon, lorsque j'en éprouverai le besoin, plutôt la nécessité. Pas de support papier, une saisie directement à l'ordinateur. Cette interruption, involontaire, n'est en vérité que formelle. C'est, pour donner dans la métaphore, comme un fruit qui mûrit, ou encore un vin qui, je l'espère du moins, va en se bonifiant. Car tout se joue de et dans l'intérieur... A bientôt pour la suite. Et que ces vives chaleurs annoncées ne vous accablent pas ! Amitiés partagées, Daniel Martinez

La flamme de la lampe
à travers la toile
et le clair transfiguré d'abîme
où diriger l’œil le faire passer
dans la douleur de la couleur...

17:04 Publié dans Poèmes | Lien permanent | Commentaires (0)

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