17/08/2018
Un poème manuscrit de Jean Malrieu
Inscription
Toi qui vivras plus loin que moi
Sois fidèle au soleil. Il est sous terre
Des printemps à naître qui t'épient
Et te supplient.
Garde l'eau pure et le regard heureux
Responsable un instant de la totalité de la terre
A toi de charger l'épaule de l'aurore rêvée.
Jean Malrieu
14:06 Publié dans Poèmes | Lien permanent | Commentaires (0)
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